A contre cœur, elle l'a abandonné
Sur le sable doré, elle l'a laissé pleurer
Sur le sable doré, elle l'a laissé pleurer
Elle est partie sans se retourner
Entrainée par le vent, elle disparaissait
Entrainée par le vent, elle disparaissait
Le temps avait noirci ses
vêtements blancs
Il pleurait sa misère depuis si longtemps
Ses larmes lavaient tous les jours ses joues
Noires et envahies par la saleté et la boue
Ses yeux bleus et rouges sont remplis de cauchemars
Le soleil a beau rayonner, sa vie demeure noire
Il regarde le ciel et s'efforce de prier
Le ciel ne lui a rien donné, continue-t-il d'espérer ?
Il pleurait sa misère depuis si longtemps
Ses larmes lavaient tous les jours ses joues
Noires et envahies par la saleté et la boue
Ses yeux bleus et rouges sont remplis de cauchemars
Le soleil a beau rayonner, sa vie demeure noire
Il regarde le ciel et s'efforce de prier
Le ciel ne lui a rien donné, continue-t-il d'espérer ?
Pieds nus il se fraye un chemin
Il jette sur la ville un regard incertain
Il jette sur la ville un regard incertain
Il n'échappera pas à son destin
La vie n'épargnera pas ce gamin.
La vie n'épargnera pas ce gamin.
Coucou ! ^^
RépondreSupprimerMerci d'être passée :)
Et, j'aime bien ton poème, d'ailleurs. Il est franc, et tu ne passe pas par 4 chemins pour exprimer ces idées. Je trouve ça moderne et carrément moins ennuyant que des poèmes de Verlaine :p
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